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  • Cet ouvrage magnifiquement bien écrit et émouvant n'est pas seulement une brillante reconstruction de la vie des années 70, mais aussi une très belle et habile étude sur le passage de l'adolescence avec tous ses traumatismes et ses joies. Nous suivons ces adolescents aux prises avec les difficultés qu'engendrent l'amour, le sexe, la drogue et les pertes tragiques, dans un livre qui est inspirant, incite à la réflexion, captivant et profondément mémorable.

    Darian Leader — Psychanalyste et auteur
  • Émotionnel, intime, surprenant. Ce livre empli d'émotions à vous couper le souffle vous transporte dans l'univers précieux et intime de l'adolescence, tout en livrant des passages culturels musicaux des années 70. On se laisse happer par le personnage principal Victoria qui nous surprend, nous fait rire et pleurer, nous transporte dans son voyage intérieur... Il suffit d'ouvrir la première page et votre cœur se met à battre.
 Merci pour ce bel ouvrage.

    Patricia Charlet — Juillet 2015
  • La passion totale vous touche en plein cœur... Ce premier roman, à mon humble avis, est un petit chef-d’œuvre. De la première à la dernière page, j’ai été captivé et véritablement ému par le passage douloureux de l’adolescente à celui de l’adulte via les aventures et mésaventures de ces jeunes gens. Victoria, le personnage principal, se bat avec acharnement pour être qui elle est réellement, pour enfin terminer son flashback avec comme elle dit, sa vie finalement construite comme une œuvre d'art. Ce livre est un petit bijou.

    Denis Lewis — Juillet 2015
  • Captivant et émouvant. Des adolescents en quête du bonheur dans la société permissive des années 70 vous questionnent sans cesse, tandis que peu à peu selon leurs aspirations et leurs besoins leur comportement se module de façon radicale. Mais il y a aussi Victoria, le personnage principal surprenant et très attachant. Une jeune fille touchante, simple, mal dans sa peau et passionnée, qui fait preuve d’une rare force et d’une fidélité exemplaire autant avec ses amis que ses amours. J’ai fermé ce livre écrit avec une grande sincérité et une tendresse, les larmes aux yeux. À lire !

    Olivier — Juillet 2015
  • Tons confondus... Ce roman inspiré de fait réels est tout simplement EXPLOSIF. Ici, l'auteure démontre, sans détour ni retenue, les difficultés rencontrées lorsque l'on grandi dans une ville "STAR" avec de modeste revenus, et qu’il est toujours très facile de dire "je suis Niçois, j'ai grandi à Nice ou encore, je vis à Nice...". C'est une étiquette qui en jette car elle a un prestige. Mais, NICE, comme toutes Grandes Villes à ses faiblesses... Je recommande vivement ce livre.

    Alegna33 — Juillet 2015
  • Voici un livre poignant qui nous transporte sur la Côte d’Azur, mais loin des clichés que l’on connait ; un livre qui nous fait plonger dans les tourments de l'adolescence. Une très belle réflexion sur la vie, et plus que tout, un bel hommage à la force de l'homme. Tantôt drôle, tantôt déchirant, à lire absolument !

    Virginie — Septembre 2015
  • Ce livre est tout simplement magnifique. L'auteur décrit parfaitement le milieu des années 70 et les ravages de la drogue chez des adolescents désorientés.
 Très émouvant.

    Bernadette Lusso — Novembre 2015
  • Beaucoup d’émotions, très touchant sur la vie des adolescents. À lire sans hésitation. De belles descriptions. Victoria nous transporte... Merci Irène pour ce beau livre.

    Anonyme — Janvier 2016
Synopsis

"On meurt comme l'on naît."

Après avoir passé quelques années à Paris, Victoria Tozzini retourne sur les traces de son passé. Une jeune fille plutôt timide et mal dans sa peau, élevée dans un quartier populaire de la Côte d'Azur, a appris par sa mère la formule négative: " On meurt comme l'on naît". Mais, avec son frère Rocco et une nouvelle amie, Lysie, elle s'efforce au cours de leur amitié de changer le cours sans toutefois se détourner de sa véritable nature. Alors, sous l'influence de la société permissive des années 70, où la révolution sexuelle, la vague anti-culture, l'idéalisme, l'altruisme, l'excitation, la musique rock porteuse d'une philosophie avec des messages hédonistes et antisociaux ainsi que la consommation de la drogue qui était plutôt considérée comme libératrice, les trois amis accompagnés de leur petite bande du quartier tentent dans ce déferlement euphorique de vivre heureux. Là, où le bonheur est contagieux. Bien que Victoria renonce à l'héroïne, les ravages de la drogue dont elle est témoin l'assaillent. Elle découvre l'enfer du manque, les coucheries, les vols, les trahisons, les inconstances de l'amitié, la souffrance et la mort, tandis qu'elle remet en cause le pessimisme de sa mère. Devenue femme, elle comprend que ce dont il s'agit, ce n'est pas tant que l'on n’échappe pas à son destin, mais bien de s'accommoder de cette perspective inéluctable qu'est la mort.

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Résumé

Au-delà des yachts de milliardaires, l’histoire en forme de rites de passage explore l’univers des adolescents désavantagés de la Côte d’Azur des années 70. Victoria, une fille de seize ans, de nature rêveuse souffre de mutisme sélectif. Confrontée à la destructivité des drogues, en compagnie de sa petite bande, elle s’expose à des dangers dont peu sortiront indemnes, et a du mal à bâtir sa vie. Entre égarement et amour, le désespoir, les ravages de la drogue et la mort sont omniprésents. Victoria résiste à la destruction en inventant ses propres modalités. Sa force intérieure, son indépendance et un surprenant instinct de vie lui permettent au travers de ses drames personnels de se reconstituer. En grandissant, elle réinvente son existence, transforme une transmission qu’elle s’approprie, et fait de sa vie une œuvre d’art.

Explication

Bleu-Vert

Beaucoup de langues asiatiques n’ont pas de mot distinctif entre le bleu et le vert. Ainsi, le vietnamien n'a pas de mots différents pour le bleu et le vert. En japonais, en dépit de l’existence d’un mot (緑) dans la langue moderne qui signifie « vert », la couleur est parfois décrite comme le bleu de l'objet que l'interlocuteur sait être vert (青), comme dans le cas du feu de circulation où le vert est appelé « bleu feu de circulation » (青信号) ou lorsque, pour désigner les plantes, on parle du « bleu feuille » (青葉), reflétant l'absence d'un mot qui signifie « vert » dans le vieux japonais. En langue bretonne également, on emploie le même mot pour les « verts et les bleus naturels » et les « bleus artificiels ». En persan, le mot pour le vert est سبز (sabz), mais ce mot peut aussi vouloir dire « noir» ou « sombre ».Azur (du latin médiéval azurium, tiré de l'arabe al-lazward, ou du persan azhward) est synonyme de bleu, et le désigne en héraldique. C'est l'origine du mot qui signifie généralement bleu dans les langues romanes, sauf le français et le roumain. (Wikipédia)

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"Prendre contact avec l'extérieur, les autres et plus loin jusqu'à se perdre à l'intérieur de nous-mêmes."

Irène-Lou Wilkins
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